Le déclic de la pensée positive peut venir d’une simple question : « Comment peut-on être épanoui(e) et serein(e) si l’on reste à l’affût du négatif ? ». On passe alors à côté du côté positif. Et lorsque le négatif se présente cela conforte l’idée que le mal est partout.
Pour que la pensée positive ait un réel impact, la conscience et le subconscient doivent être en harmonie.
On peut se répéter chaque matin « je peux le faire », « la vie est belle » mais si au fond de soi on n’y croit pas, le résultat sera un découragement plus grand.
La pensée positive doit devenir un automatisme pour y croire vraiment, tout comme respirer.
Un travail sur soi est donc nécessaire, notamment en apprenant à lâcher prise et en prenant du recul.
Le stress, les conflits internes, perdurent dans le temps quand on cherche à contrôler la situation, ses émotions et autrui.
Plus le besoin de contrôle est fort, plus l’acception sera difficile.
Lutter contre ce qui nous arrive, contre les autres ou contre ses propres émotions est une perte de temps et d’énergie considérable.
Cette lutte augmente le manque de confiance en soi.
Le seul moyen d’aborder sereinement les aléas de la vie, c’est d’accepter les événements, ses émotions ainsi que les limites de nos capacités. Lâcher prise induit d’abandonner un idéal qui est source de frustration car il ne peut pas concrètement exister.
Laisser un commentaire